Chapitre 2 & le début de 3
Le deuxième chapitre commence avec le début de la manifestation algérienne cette nuit-là à Paris et comment cette manifestation sur le couvre-feu qui était censée être pacifique, est devenue violente et un massacre sanglant. Le chapitre décrit beaucoup la violence du CRS, du point de vue de l'auteur mais aussi du point de vue de Roger Thiraud, qui est choqué par le traitement des algériens. Ici, Daeninckx utilise aussi la technique littéraire de narrateur omniscient, parce que Roger narre les événements de certaines parties du chapitre.
'Son attention restait accaparé par les corps inertes des manifestants. Un cadavre surtout, dont la tête éclatée, terrible, barré d'une bouche d'ombre mortelle...'
Tout le deuxième chapitre couvre la manifestation, avec beaucoup de description sur la violence, les commentaires racistes des français et finalement l'assassinat planifié et tragique de Roger Thiraud. Nous savons que Roger était la cible d'un tueur à gages parce que l'homme avait des photos de Roger et aussi son meurtre horrible et délibéré.
'Mais l'homme, méthodiquement, appliqua le canon de l'arme sur la tempe droite de Roger Thiraud...'.
Au chapitre trois, l'auteur nous amène vingt ans en avant, et nous recontrons le fils de Roger Thiraud, Bernard. Les suites de l'assassinat de Roger sont tragiques. Sa femme n'a beaucoup parlé après sa mort ou quitté l'apartement. Bernard, comme son père, étudie l'Histoire et lui et sa petite amie Claudine quittent Paris pour un arrêt rapide à Toulouse avant d'aller au Maroc. Mais la tragédie se réproduit à Toulouse et il est aussi assassiné de sang-froid.
Mes pensées:
Ce qui me frappe beaucoup sur chapitre deux et le début de chapitre trois et la position de l'auteur sur le traitement des algériens par le C.R.S la nuit du 17 octobre 1961. Je crois qu'il utilise les descriptions détaillées de la violence et le massacre et il utilise des personnages relatables et presque vrais pour faire une critique des événements. Il veut que nous lisons les descriptions des cadavres et des injustices et que nous obtenons une image véridique de ce qui s'est réellement passé. C'est une exposition et une critique de Daeninckx, après les années de dissimulation du gouvernement français. Le personnage de Bernard et sa mort est une continuation de l'histoire et le mystère va plus loin et nous commençons à nous demander si ceux deux événements sont liés?...
J'ai inclus dans mes références un article de journal du New York Times publié en 1998 qui décrit un peu la vraie manisfestation du 17 octobre 1961.
Références:
Anonymous1998, May 05. Tale of 1961 Massacre Of Algerians in Paris. New York Times (1923-Current file), 1. ISSN 03624331.
'Son attention restait accaparé par les corps inertes des manifestants. Un cadavre surtout, dont la tête éclatée, terrible, barré d'une bouche d'ombre mortelle...'
Tout le deuxième chapitre couvre la manifestation, avec beaucoup de description sur la violence, les commentaires racistes des français et finalement l'assassinat planifié et tragique de Roger Thiraud. Nous savons que Roger était la cible d'un tueur à gages parce que l'homme avait des photos de Roger et aussi son meurtre horrible et délibéré.
'Mais l'homme, méthodiquement, appliqua le canon de l'arme sur la tempe droite de Roger Thiraud...'.
Au chapitre trois, l'auteur nous amène vingt ans en avant, et nous recontrons le fils de Roger Thiraud, Bernard. Les suites de l'assassinat de Roger sont tragiques. Sa femme n'a beaucoup parlé après sa mort ou quitté l'apartement. Bernard, comme son père, étudie l'Histoire et lui et sa petite amie Claudine quittent Paris pour un arrêt rapide à Toulouse avant d'aller au Maroc. Mais la tragédie se réproduit à Toulouse et il est aussi assassiné de sang-froid.
Mes pensées:
Ce qui me frappe beaucoup sur chapitre deux et le début de chapitre trois et la position de l'auteur sur le traitement des algériens par le C.R.S la nuit du 17 octobre 1961. Je crois qu'il utilise les descriptions détaillées de la violence et le massacre et il utilise des personnages relatables et presque vrais pour faire une critique des événements. Il veut que nous lisons les descriptions des cadavres et des injustices et que nous obtenons une image véridique de ce qui s'est réellement passé. C'est une exposition et une critique de Daeninckx, après les années de dissimulation du gouvernement français. Le personnage de Bernard et sa mort est une continuation de l'histoire et le mystère va plus loin et nous commençons à nous demander si ceux deux événements sont liés?...
J'ai inclus dans mes références un article de journal du New York Times publié en 1998 qui décrit un peu la vraie manisfestation du 17 octobre 1961.
Références:
Anonymous1998, May 05. Tale of 1961 Massacre Of Algerians in Paris. New York Times (1923-Current file), 1. ISSN 03624331.
Comments
Post a Comment